"Par sa prière fervente, ses sacrifices et son humble travail, la religieuse pourra mériter des grâces de lumière et de sainteté capables d'enrichir l'âme du prêtre, et de féconder son ministère" (Const. no 3).

Fille de l'Église, elle s'est rendue disponible aux divers besoins des prêtres et des aspirants au sacerdoce :

Les PFSJ ont œuvré au Grand Séminaire de Montréal de 1910 à 2006.

Depuis 2006, ces services ont été discontinués étant donné l'âge avancé des soeurs, mais la prière et l'offrande de leur vie se perpétuent d'une façon
particulière pour les prêtres; celles-ci, accompagnées de dons pour les Oeuvres de l'Église.